samedi 24 mars 2012

LE LIVRE DE SATAN: II


II, 1. Regardez la croix; quoi-ce que qu'elle représente? La faiblesse blême attachée à un arbre.

II, 2. Doutez toutes les affaires. Comme j'sus deboutte devant la suppuration et la façade vernie de votres doctrines morales, j'écris sus votres doctrines des lettres de dédain enflammées: Regardez: tout ça icitte est yinque une fraude!

II, 3. Rassemblez-vous-autres autour de moi, Oh! vous-autres qui défie la mort! Et la terre elle-même sera la vôtre, à posséder et à s'occuper!

II, 4. Trop longtemps on a permis à la main morte de stériliser la pensée de création!

II, 5. Trop longtemps le bon et le mauvais, le juste et le faux ont été renversés par des faux prophètes!

II, 6. Aucun crédo doit être accepté sus l'autorité d'une nature "divine." Les religions doit être questionnées. Aucune doctrine morale doit être présumée -- aucun standard de mesure doit être considéré comme un objet d'adoration. Y a pas rien de sacré dans les principes moraux acceptés. Comme les idôles en bois de longtemps passé, ils sont l'ouvrage des mains des hommes, et ça que l'homme a créé, l'homme peut détruire!

II, 7. Çui-là qui tarde à croire à n'importe quoi possède une grande comprenure, parce que la croyance en un faux principe est le commencement de toute effronterie.

II, 8. La tâche principale de toute nouvelle âge est d'éléver des nouveaux hommes pour décider ses libertés, pour la mener ver le succès matériel -- pour fendre les cadenas rouillés et les chaînes de tradition morte qu'empêchont tout le temps l'agrandissement sain. Les opinions et les idées qu'auront indiqué la vie et l'espoir et la liberté pour notres pères pourront nous indiquer la déstruction, l'esclavage et le déhonneur aujourd'hui!

II, 9. Comme les environnements changeont, aucun idéal d'homme est sûr!

II, 10. Équand, ça se fait, une menterie s'a bâti un trône, attaquez-lé sans pitié et ayez aucun regret, car avec la menterie mal commode en contrôle, personne peut réussir.

II, 11. Laissez les raisonnements ou les arguments rusés établis être détrôné, déterné, brûlé et détruit, car ils sont une menace permanente pour toute la vraie noblesse de pensée et d'action!

II, 12. N'importe équelle "vérité" supposée qu'est prouvée par les résulats d'être juste des menteries, laissez-lé être garrochée au fond du noir, parmi les dieux morts, les empires morts, les philosophies mortes, et les autres morceaux de bois et ruines inutiles!

II, 13. La plus dangereuse des menteries entrônées est le saint, le sacré, la menterie priviliégée, la menterie que tout le monde croit comme une vérité modèle. C'est la mère qui produit toutes les autres erreurs et tromperies connues. C'est un arbre à têtes de hydra sans raison avec mille racines. C'est un cancer de la société!

II, 14. La menterie qu'on connaît pour être une menterie est motché ôtée, mais la menterie que le monde smart acceptont comme la vérité -- la menterie qu'a été montré à un enfant assis sus les genoux de sa mère -- la plus dangereux qu'une peste déchaînée.

II. 15. La menterie connue a tout le temps été l'ennemi le plus fort de la liberté personnelle. Y a juste une manière de faire affaire avec eux: Coupez-les, au cœur même, comme des tumeurs. Exterminez-les entièrement. Détruisez-les entièrement, ou eux, ils le feront à nous-autres!

jeudi 8 mars 2012

LE LIVRE DE SATAN: I


I, 1. Dans cette région sauvage déchessée de fer et de cailloux je lève ma voix pour que vous peuvez m'attendre. À l'Est et à l'Ouest j'appelle. Au Nord et au Sud je fais signe déclarant: Mort au faible, richesse au fort!

I, 2. Ouvrez les yeux pour que vous peuvez voir, Oh, hommes d'esprits moisis, et écoutez-moi ô millions de confondus!

I, 3. Car j'sus deboutte pour salir la sagesse du monde; pour questionner les "lois" des hommes de "Dieu"!

I, 4. Je demande les raisons de votres règles d'or, et demande le pourquoi et la cause de votres dix commandements.

I, 5. Devant aucun de votres faux dieux je me mets à genoux en consentement, et çui-là qui proclame "tu ne feras point" est mon ennemi juré!

I, 6. Je plonge mon index dans le sang clair de votre faible rédempteur fou, et j'écris sus son front déchiré par les piquants: Le VRAI prince du mal - Le roi des esclaves!

I, 7. Aucune vieille menterie sera une vérité pour moi; aucune vieille doctrine dérangera ma plume!

I, 8. J'en finis avec toutes les conventions qui mènont pas à mon succès et mon bonheur sus la terre.

I, 9. Je défends beaucoup l'attaque contre l'ordinaire du plus fort!

I, 10. Je guette l'œil uni de votre effrayant Jehovah et je le plume par la barbe; j'élève une grosse casse-tête et je fends son crâne mangé par les vers!

I, 11. Je détruis le contenu des tombes peinturées blanches par la philosophie et je ris avec une colère moqueuse!